Jason Barrault

Jason Barrault
Société
NoGravity Films
Fonction
Directeur - Associé
Biographie
Né en 1984 à Rennes, j’ai passé mes 7 premières années entre La Bretagne et les Bahamas et les Antilles sur un voilier de 11 mètres construit par mon père, il bossait la bas comme médecin pour le club med. C’est certainement de la que je tire mon tropisme pour les grand espaces, la nature et la biodiversité. Je suis arrivé à Paris à 8 ans et ça a été un peu la douche froide. J’ai toujours eu envie de voler, j’ai découvert le parapente à 15 ans que j’ai beaucoup pratiqué par la suite. En 2004 je découvre l’ULM pendulaire, j’obtiens ma licence de pilote en 2005. En parallèle, passionné de cinéma, après le bac je rentre au conservatoire libre du cinéma français en 2006 ou j’obtiens 3 ans plus tard un diplôme d’assistant réalisateur. Métier que j’ai pratiqué 3 ans d’abord en TV (Julie Lescaut et un peu de pub) puis sur le long métrage tabarly (ou je découvre les coûts exorbitants de la prise de vue en hélico) mais ce n’était pas une profession pour moi. Avec l’arrivée du drone je monte une première boite : rase-mottes productions en 2012, j’en ai fait beaucoup entre 2012 et et aujourd’hui. 2014 j'éssaye en ULM révolutionnaire, le skypper 912S une machine au domaine de vol incroyable et qui consomme peu de carburant construit par Air Création marque française basée en Ardèche leader mondial de l’ULM pendulaire. C’est la que me viens l’idée de la prise de vue en ULM, proposer une alternative eco responsable et plus abordable à la prise de vue aérienne par hélicoptère. Pour donner quelques chiffres un hélicoptère de prise de vue consomme entre 200 et 300 litres de kérozène par heure de vol la ou un ULM consomme entre 9 et 15 litres de SP 98 par heure de vol ... Le drone n’étant à mes yeux pas un outil de prise de vue aérienne car trop limité (temps de vol entre 5 et 30 minutes, domaine de vol trop restreint car impossible de dépasser 120 mètres de haut, de séloigner à plus d’un km du pilote, capacité de charge trop limité et l’obligation de travailler en focale fixe car un zoom serait trop lourd à stabiliser sur un drone. Je vois donc le drone comme un outil de prise de vue extrêmement polyvalent et précis qui évolue en 3 dimensions mais pas comme un outil de prise de vue aérienne.
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Intervenant sur

Comment filmer depuis le ciel, l’art de la cinématique aérienne ?

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07/11/2024 | 15:00 - 16:00 | THEMA 2